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mercredi 10 mars 2021

Vos huîtres, tièdes ou froides ?

 Ce que je ne comprends pas dans cette affaire Duhamel, c'est que le gars est plutôt bel homme, dans la gamme "viandard"; avec sa position il devait avoir toutes les femmes qu'il voulait, qu'est-ce qui lui a pris d'aller harceler ce tromblon de Camille Kouchner ? 

Bon donc je voulais revenir sur un troisième aspect de la transmission du cadre de l'art dramatique évoquée : https://nahatzel.blogspot.com/2021/03/premiers-bisous-reygnar-antinyar.html 

Là où cela va encore plus vous scotcher, c'est que lorsque cette intuition m'a traversé l'esprit, elle s'est accompagnée d'une autre certitude, disons corollaire, c'est qu'il s'agit là d'une construction des sens aussi bien qu'une construction conceptuelle.

 Je parle bien d'une construction sensorielle, et on est un peu sur la madeleine de Proust. J'ai bien conscience d'être déjà off  the wall, mais c'est mon boulot de forerunner, en disant que notre boîte à outils intellectuelle peut se doter d'outils dont la construction a commencé lors de la Grèce antique, mais là je vais aller encore plus loin en disant que cette construction est étayée par un échafaudage sensoriel, et que les poutres et chevrons sont constitués de visions, de sons, d'odeurs, qui se transmettent dans le temps et l'espace par des transmissions épigénétiques.

Pour le dire autrement, la culture se répand aussi en partie par l'ADN. D'ailleurs, qui dit qu'il n'existe pas une possibilité de "descente" vers l'ADN codant pour les protéines, le "traditionnel". Qui dit qu'à force d'être coutumière, présente, une règle occasionnelle ne devient pas chronique, plus profondément inscrite en descendant dans les couches de l'ADN, depuis le fourreau en duvet de l'extérieur des chromosomes, vers le centre "dur" de l'ADN codant, celui qui se déplie, celui de la race...

 Ma construction des concepts de dédoublement, de distance, s'appuie sur une charpente de souvenirs sensoriels, et ce double mouvement de construction se déploie à la fois sur un plan phylogénétique à l'échelle de temps de l'Histoire, et sur un plan ontogénétique dans la vie et la formation de l'individu. 


 Quoi ? En plus c'est même pas elle, c'est son frère, qu'il embroquait ? Aïe aïe aïe, mais on est vraiment tombé bien bas... C'est d'ailleurs un fait notable, je trouve que les garçons sont surreprésentés dans les victimes de viol. On dirait que ce genre de vieux con, comme les curés ou les Grecs anciens, ont, en plus du côté pédophile, un penchant homosexuel, c'est curieux. Qu'on préfère baiser une jeune qu'une vieille, ça tout le monde sera d'accord, ça fera l'unanimité moins justement quelques tordus de ce genre...

 
 Vous qui êtes un type bien, vous n'êtes pas pédophile, vous préférez la vieille à la jeune, évidemment. Eh bien c'est parfait, je vous la laisse, tout le monde est content :)


A propos de la liberté d'expression, je me suis encore fait une autre réflexion : A la question "Mais pourquoi insérez-vous systématiquement quelque bout de sein ou cul dans vos images ou vidéos", je réalise qu'une partie de la réponse est : "Pour être sûre de ne pas les retrouver sur un site qui écarte les images osées ou déplacées. Pour être sûre de ne pas me voir sur une liste ou une de ces pages béni-oui-oui, qui éliminent une partie de la réalité pour faire croire qu'on est conforme à... à quoi d'ailleurs, la morale chrétienne, la bienséance judéo-chrétienne ... que sais-je encore ?

Non, à la bienpensance connasse de l'époque.

Bref, ainsi je suis sûre que l'ennemi ne peut pas m'annexer. Je suis incapturable. A l'inverse de ces petites putes qui se déshabillent sur Omegle en pensant que c'est inpiratable et qui pleurnichent ensuite de se voir en culotte sur tous les sites hébéphiles, je ne peux pas me retrouver en territoire bien-pensant, car l'ennemi s'auto-censure, il me libérera de sitôt.

Un peu de la même manière, on peut dire que je suis islamophobe par inclusion. Une de ces figures logico-mathématiques chères à Piaget et formalisée par la théorie des ensembles. Partant du principe que je suis crétinophobe, et que l'ensemble des adulateurs de je ne sais quoi est inclus dans celui des crétins, je suis adulateurophobe par inclusion. Mécaniquement en quelque sorte, je dégueule tout ce qui se prosterner devant une statuette ou un représentant, comme vous une huître tiède (1).

Et donc a fortiori, l'ensemble des musulmans étant inclus dans celui des adorateurs en général, de la même façon, mécaniquement, je suis islamophobe car adulophobe et crétinophobe. C'est inscrit dans la structure de l'univers, vous pouvez toujours frétiller et placarder mon nom pour vous faire bien voir vis de vos crétins de confrères (et je ne parle pas des connesoeurs par galanterie), cela ne changera rien, les musulmans resteront un sous-ensemble des crétins croyants. De même je suis hindouinophobe, chrétienophobe, udrophobe, clubmedophobe, lremophobe, d'ailleurs machin a déjà dit familles je vous hais.

Bon, et avec tout ça, les lycéens ont encore réussi à passer au travers des mailles du filet. Pourtant ils donnent dans la connerie, eux, en ce moment. La France se réveille au seau d'eau de Seine froide avec des cris d'orfraie "Mais comment, c'est épouvantable, ah là là nos chers petits, nos têtes blondes, des mooonnnnstres..."

Ils commencent à apercevoir l'ampleur des dégâts, et ce que ça fait de ne plus éduquer les enfants, en achetant des caméras de surveillance pour pincer les voleurs. La mafia qui est là derrière déroule le tapis aux fachos depuis un demi-siècle avec un agenda impeccable, et vous courez en rond dans le poulailler comme les poules de ma grand-mère quand elle allait en chercher une pour la foutre à la casserole :D

Hé, psst, vous savez quoi ? Vae victis :)


(1) C'est pas de bol, d'ailleurs, au passage. Si j'étais juste arachnophobe, tout le monde me plaindrait en disant :" Oh la pauvre, elle n'aime pas les araignées". Tandis qu'ici on me conspue et me menace du bagne et des galères. La loi des hommes a intégré cette curieuse asymétrie : on a le droit de dire qu'on n'aime pas les huitres, la viande de cheval, qu'on est dégoûté par le saucisson d'âne et le boulgour, mais on n'a pas le droit de dire qu'on n'aime pas les crétins endoctrinés, c'est curieux.

C'est curieux cette obligation qu'on se trouve de dire qu'on aime les crétins endoctrinés. Et si je ne les aime pas, moi, pourquoi me serait-il interdit de le dire ?

Cela signifie que les crétins endoctrinés ont réussi à influencer le législateur et pas les araignées. On se demande bien pourquoi. Question de trouille, peut-être...

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