Rechercher dans ce blog / Find in this blog

samedi 20 février 2021

Le femme objet II - La bonniche

Je devrais écrire "la bonniche-pute", mais c'est "compris dans le prix". Pour l'homme, la femme est objet avant tout par sa sexualité non pas sa propre sexualité bien sûr, mais ce en quoi elle est prédisposée à servir celle de l'homme, cf. le harem, lieu où l'on supprime à la femme la possibilité d'aller et venir afin qu'elle soit disponible sexuellement sans contrainte de calendrier.  

 Exactement comme ces émirs dont les garages sont plein de Ferrari qui prennent la poussière. On bloque sans consommer, histoire de dire. Que la femme-voiture s'ennuie, ça c'est hors de portée de l'imagination du décérébré.

 Avant que d'en venir au sujet principal, une petite allégorie à propos de la "reprise", censée succéder à la "crise" :

"Le marché tirant l'économie" Huile sur Toile 1589

Bon sinon, l'autre jour, je reçois un mail promotionnel de vente de voitures, signé Citrozen. En cause, l'absence du "ë" : je me dis que le caractère accentué d'origine a sauté, mais ça m'intrigue, je vais voir le contenu du mail. Eh ben non, ils l'ont fait : ils ont caviardé leur propre nom de marque pour faire une opération de promo. 

Bon, que ça signe une méconnaissance totale de la référence, c'est comme si on voyait des japonais dire "Achetez une voiture en tout christianisme", c'est n'importe quoi, mais passe encore, c'est le zeitgeist.

Mais utiliser le mon "zen" et l'insérer en tant que syllabe pour faire "Citrozen", là faut avoir touché le fonds, c'est l'idée zéro, la trouvaille jeu de mots pire que Carambar, enfin, c'est la fin, quoi. Regardez tout en bas :

Je passe aussi les obscénités genre "avantages online,", "mirrorscreen", ou encore les catastrophes environnementales annoncées comme des "points forts" (climatisation "bizone"...), le manque de "s" aux pluriels, enfin c'est vraiment citromerdre, quoi.

Ceci dit, j'ai loué une de ces énormes patates, et c'est vrai qu'entre la clim, le régulateur de vitesse, la musique, on est presque comme dans son salon. Vivement que ça conduise tout seul.

 

Bon sinon, nous abordons le tome II de l'encyclopédie "Testostérone, le fléau du monde", qui illustre la femme réifiée, cette fois-ci non plus en bagnole ou en moto, mais en bonniche. 

C'est un peu plus compliqué. En effet jusqu'ici l'équation était simple :


 Faire de la femme ou de ma moto, c'est tout un, la femme est un objet avec lequel se faire plaisir, surtout le "bon pilote". Le bon pilote est un bon baiseur, c'est tout un. 

Dans le cas de la bonniche, le processus de transformation en objet doit être arrêté en route : la femme de ménage est un peu une personne, qu'il faut responsabiliser sur les objectifs et les résultats. C'est un aspirateur sur pattes, mais qui doit gérer plus et mieux. 

 Le court-circuit se fait donc en cours de route, par le biais de la figure de la pute. La pute est un objet de plaisir, mais reste une personne. La compagne est une pute dont les services sont ménage, courses, cuisines, petit entretien, lavage, repassage, mais elle reste une personne "du ménage", du mariage qui en a fait une pute domestique, on la rémunère donc non en monnaie, mais d'un peu d'affection, comme un chien à qui on gratte la tête.

 


Le principe est le suivant : du côté masculin, on pense "C'est bien, fais le ménage et je te gratifierai de ma bite, ce qu'on peut rêver de mieux", et du côté féminin : "Allez, ce sera ma contribution à notre petit nid d'amour, puis de toute façon faut le faire c'est sale, Jean-Paul n'a pas le temps il doit aller au foot, boire des coups avec les copains, aller à la salle, regarder des matches avec les copains..."


Les légendes tombent alors toutes seules, comme les princesses des cours d'Europe à mon bal de rentrée.

C'est bien, tu as bien rangé la maison, pour te remercier tu vas avoir l'immense honneur de mon zob -Oh, merci mon seigneur et maître, quel privilège.".


 
 
"Oh quel bonheur quand mon homme me bourre alors que j'ai la râpe à patates à la main pour me récompenser, j'adore avoir la marque des meubles imprimée sur le ventre, ça prouve que mon propriétaire est content de mes services. "

"Mais qu'est ce que je vois là, une pâte à tarte, viens que je te saute -Oh Monseigneur me fait trop d'honneur, je ne fais que mon devoir."

 Si si, j'y tiens, je le verserai moi-même. -Oh combien je suis reconnaissante au Gibbon Flamboyant de sacrifier un peu de son temps pour prendre la cafetière bouillante avec laquelle j'aurais dû le servir".
 

 "T'es tellement sexy quand tu fais la cuisine, c'est gentil mais lâche cet accessoire de gonzesse et fais un vrai boulot d'homme avec ta grosse queue".

"Je t'ai fait ton café, tu me récompenseras avec un coup de bite, comme d'ab ? J'en manque tellement depuis hier soir, tu le sais, coquin, tiens, bois vite, et regarde comme jeme suis fait de grosses fesses musclées comme les putes sur insta".

"Je mets à cuire comme ça mon homme sera content quand il rentrera du foot, ce sera prêt, et un petit mari content, c'est un mari qui me baise bien, et c'est essentiel dans la vie d'une femme, quand je vois toutes ces mal baisées qui s'ennuient le dimanche après-midi !".


"J'ai les formes canoniques de la pouffiasse contemporaine, grosses mamelles et cul de jument poulinière, mais je fais beaucoup d'efforts pour avoir l'air d'un bovin d'élevage au grand prix. Fitness, muscu, hormones, suppléments... mais c'est à ce prix là que je peux cuisiner en slip et faire des petits plats à mon homme, car en plus de faire pute domestique, je fais cuisinière aussi."



 Bon, sinon je mets tout de même quelques perles.






Curieusement, les illuminés écrivent plutôt mieux que les autres...

Sinon, au lieu de ces trucs ridicules,

 


Ils feraient mieux de mettre les films en ligne et dot barre.

Dans la série "l'effet papillon", les illettrés stockent des livres numériques (ici un commentaire débile du cas Elisabeth de Freud) :



 Sinon, un article sur moi dans Le Monde :

Sinon un extrait de la fiche d'un habitant de l'Inde, aucun complexe, le gentleman qui fait du sport en le regardant à la télé, ou qui y pense, qui fait surtout du "jocking" (..) sur son canapé en projetant de mettre des photos :


Le dingo qui incruste le PR dans sa pub...

Je ne sais plus si je l'ai mise, celle là, les "plus côté " :


 

Là c'est juste pour les couleurs :


A comparer avec un article du Chasseur Français de 1949, dédié à ceux qui croivent qu'on a inventé les compétitions "handisport".

Bon, je reviens. 



mercredi 10 février 2021

L'art caterpillar publicitaire

 Comme par hasard le sphinx géant est en sucre dans une usine désaffectée prêtée par l'industrie du sucre, fournissant par là le motif feuille de papier à cigarette en rapport avec la culture négrière de la canne. On se fait sponsoriser par qui on trouve.



Du moment que ça pèse dix tonnes, du sucre ou autre chose, et les baigneurs avec des paniers... Mais bien sûr c'est le commentaire qui est le plus savoureux :

 
Candide, tu parles, y'a pas plus opportuniste que ce discours à la con, politiquement correct ad nauseam, " candid investigation of race, gender, sexuality and violence", tout y est, ce n'est plus du lèche-cul, c'est #3615sucemab.

Et l'autre, qui a trouvé comme "technique signature" de faire couler de l'encre dans des seringues. Alors, qu'est-ce que je vais pouvoir bien mettre comme couleur ? Du bleu, ah non du vert, tiens ça fait longtemps que j'en ai pas mis, du vert".  Je sais, je l'ai déjà mis.


M'enfin du moment que ça fait 4 mètres de haut, et que ça investigue les questions de race et de genre, hein... C'est sponsorisé par les encres Duplolo, je suppose...

Les encres Duploplo sont engagées dans la lutte contre les discriminations de genre, et ont établi une charte afin qu'il y ait autant de connes que de cons dans leur usine, et que la conne soit exactement aussi con que son collègue masculin.


C'est comme les histoires de viol. Je suppose que si la victime est un gars, c'est d'une sodomie dont on parle. Donc déjà faut une main pour la rentrer. Donc ça veut dire que, de la seule main qui lui restait de libre, le papy est arrivé à tenir un mec de 22 ans suffisamment immobile pour viser et l'embroquer, chapeau.

C'est comme les curés de 80 balais qui se farcissent des scouts de 15 ans à tire-larigot. C'est des anciens catcheurs les mecs, moi j'ai essayé avec des filles de CM2 borgnes, je m'en suis sortie bredouille et avec des traces de griffures et des bleus de coups de pieds. Heureusement, j'ai pu me faire rembourser mon strap-on inutilisé pour frais de recherche. Ah non, mais à la rédaction de Faken Youz, on est à cheval sur les notes de frais, faut voir.

D'ici dix minutes, ils vont nous sortir des tableaux en rouge à lèvres, et en vernis à ongles, sponsorisés par Marionnaud, pour dénoncer les questions de genre imposées aux minorités raciales et à la violence sexiste des normes patriarcales. Et des installations de choucroute géante, sponsorisées par William-Saurin. :D Ah, Seigneur, les crétins... #Floressas

Tiens d'ailleurs, tant qu'on y est dans les mots-clés, je vais prendre "#balancetacroûte" pour quand on ose écrire, dans les commentaires d'une bouse, au dessous de tous les "wow, aahh, oui je jouis, magnifique, essssstra", un simple "c'est de la merde". 






vendredi 5 février 2021

L'art Kiloutou

 Donc en fait aujourd'hui, vous savez que vous êtes un artiste s'il faut une grue pour votre installation, et on mesure votre notoriété au nombre de transpalettes et de caterpillars qu'il faut louer pour l'occasion.

Henaurme, tu es hénaurme.



Nous les pauvres débris, on nous avait habitués à ce qu'une œuvre porte un sens, un message (1), une démarche, quelque chose qui pousse un peu à communier, à réfléchir. 

On cherche en vain, comme des clochards les poubelles, ces vestiges. Une œuvre d'art est consensuelle, elle doit pouvoir rentrer chez Ikea, donc ça peut être coloré gentiment, façon arc en ciel, elle doit juste déclencher "wow " quand on la voit, pour que vous puissiez mettre à votre tour "wow" en commentaire, ça suffira merci. Et puis pour le reste, vous devez dénoncer. Il y a une liste officielle de problèmes à dénoncer, on la trouve partout, ça commence par les violences faites aux femmes noires juives borgnes chauves, les viols et les incestes commis à longueur de temps sur les femmes noires juives, mineures, jaunes, indiennes, et rouges,  les discriminations envers les minorités, les personnes de couleur verte ou bleue, les transgenres, les problèmes de braguettes et de clitoris, comment on doit leur parler et apprendre à en parler aux enfants, et puis la biodiversité, et le climat en dernier.

Je dis "en dernier" parce que c'est important. Si vous inversez l'ordre et que vous dites que les enfants, de toute façon, genre ou pas, n'auront pas d'eau à boire, là vous gâchez la fête par des prises de position extrémistes. 

Bien, donc, le phénomène de la signature apparaît sous une de ses dimensions, la taille. Après l'énorme, le minuscule :

 

Une autre dimension de la signature, c'est le jamais-vu-dans-le-genre-c'est-du-délire : elle sculpte des châteaux sur des robes, elle coud des bottes sur des chapeaux, elle grave des châteaux sur des cartes postales, elle remplit un bus de paquets de beurre (pour dénoncer les viols), elle écrit avec un cheval rempli de peinture (les associations protestent, ça fait le buzz) enfin il faut que cela relève du n'importe quoi. 

Mais un n'importe quoi qui puisse vous identifier rapidement, ce qu'on confond avec "avoir un style", d'où toutes ces créations en papier alu gonflable géantes. On a même une assimilation entre les deux :

 

Regardez le commentaire : "signature technique"



 Autre signe, les mots sont précédés d'un caractère qui les transforme en balise. On ne parle plus pour dire quelque chose aux autres mais pour signaler à la machine qu'on lui a fourni un lien.

Il faut que la personne qui parcourt le site en frottant son téléphone du doigt puisse montrer son téléphone à sa voisine en disant "T'as vu, elle sculpte des voitures dans des ongles d'éléphant" - Wow. 

 

T'as vu, elle peint des cafetières avec des pneus de vélo.

 

(Pour l'autre conne, Oldenburg est né la même année que sa mère, celle ci voit dans une croûte immonde la deux-cv de sa sœur, ils sont tous complètement pétés)

Voilà, vous avez gagné votre petite vue, le système a enregistré votre frottis de doigt, c'est gagné, plus que dix millions, et vous dépassez le voisin, l'artiste qui dessine des zèbres sur des capsules de bière (pour dénoncer le traitement des migrants) ou qui sculpte des animaux vivants grandeur nature en capsules de bière recyclées (pour dénoncer la pollution des océans, qui prive les minorités ethniques de leur habitat naturel).


 

Et on revient à l'histoire de la boucherie. Heureusement qu'on n'a pas plus de dix secondes à consacrer à la chose, parce qu'on n'a pas le public pour. Le public, il ne lira plus jamais rien, et s'il lui arrive de lire, par exemple un bouquin sur l'histoire des Grecs anciens, il aura la version remaniée par Microsoft :

 

 

L'édition faite par des décérébrés qui ne n'écrivent pas, pour des décérébrés qui ne lisent pas. 

Ces cyber-crétins, comme disait je ne sais plus qui, sont habitués à considérer l'enseignement comme une chaîne Youtube parmi d'autres, qu'on regarde d'un œil distrait dans le train, en jouant sur sa console à Harry Potteron line avec douze millions d'autre décérébrés en ligne qui s'appellent tous Gandalf, et en envoyant les photos de tout ça aux décérébrés de son groupe. Ce qu'il reste du contenu du cours, que dalle, on s'en fout.

 


 Mais imaginez qu'ils vous mettent tous un like... Ah oui, il y a un autre signe de la Bête (la connerie), c'est, j'en avais déjà parlé, l'inversion du sens du courant de l'enseignement. Avant, étudier le théâtre, c'était écouter un cours sur les auteurs dramatiques, on se faisait décortiquer Athalie, puis on avançait vers le XXè en comprenant les charnières etc.

Aujourd'hui, étudier une matière c'est la produire. On étudie le théâtre, ah bon, et vous étudiez quel auteur, nan on étudie pas d'auteur, on doit écrire une pièce de théâtre. Ah oui, ben évidemment, étudier le théâtre c'est avant tout ça, oui, bien sûr.

Et alors tu vas écrire une histoire sur quoi ? ben en fait j'ai mélangé deux scènes de Harry Potter. Eh ben, d'accord, ben écoute, tu rentres chez ta mère, et tu lui fais mes amitiés. La fille dont je vous parle, elle n'étudie plus rien parce que ses profs sont nuls et qu'elle n'apprend rien. Idem pour un autre élève de Terminale, qui ne va plus en anglais, parce qu'il n'apprend " plus rien depuis la quatrième".

C'est aussi une constante ça, je sais déjà tout mieux que tout le monde, et ce prof étant nul, je vais produire directement. J'y eu droit en anglais, en dessin... "En dessin je sais déjà tout" (5 ème).

En fait leur ignorance est tellement abyssale qu'ils ignorent à quel point ils ignorent la profondeur de leur imbécillité. Ile sont tellement ignares qu'ils n'ont même plus d'instrument de mesure pour se comparer à un savoir dont ils ignorent totalement l'existence. Le monde se réduit à ce qu'ils sont, le savoir à ce qu'ils savent faire.

Et les crétins qui écrivent des romans en ligne :

 

144.000 crétins qui ont cliqué sur le truc, des millions de "vues" d'abrutis, pour des tonnes de peinture.

Il faut dire qu'ils sont précédés d'ancêtres qui leur ouvrent la barrière :

 Pou savoir ce qu'il a écrit :D

 

Et quand on n'a pas de boulot honnête, on fait quoi ? Truand,

  ou pire, auto-entrepreneur

 

  Et les cartons de courrier perdu qui traînent aux archives, ça j'adore.

 

Et les mignons d'Henri IV qui fusionnent dans l'hilarité générale, j'adore,


 

Et l'ex-art thérapeute que le photographe a manqué de peu en train d'obéir à sa suggestion de faire semblant de la sucer.


 Et tous ces crétins qui détruisent leur planète,

 

 

 Installation "Café au lait", qui est une des œuvres phares de l'exposition "Petit(e) déjeuneè(e) pour le/la monde", une forme globale qui parle de l'histoire des stratégies de libération spatiale noire ...

Mettant en avant l'engagement des artistes contemporains avec les problèmes sociaux comme les prescriptions normatives du vieux monde blanc sur le futur positif et transgenre de l'Iphone, et façonnant les institutions, l'exposition soulève des questions cruciales alors que nous sommes confrontés aux crises entrelacées du racisme systémique et d'une pandémie de santé mondiale.

Des singes, juste des singes.



fliqués par d'autres singes

 

Quand ce ne sont pas des dictateurs qui monopolisent les ressources du pays, ce sont des clowns qui claquent le fric en partouzes.

Heureusement y'a un petit bonhomme très méchant, et tous ses cousins mutants


Qui vont faire le ménage.



(1) Ne croyez pas que je prête ici le flanc à la critique à la mode dans les années 80, qui voulait qu'ont se gausse de tout ce qui portait message, et il était impératif pour l'artiste interrogé de répondre que non, surtout, il n'y avait aucun message dans son œuvre, et qu'il ne se sentait pas investi de la mission de etc.

Je parle ici du message qui surgit lorsque l’œuvre parle. Tout créateur sent la frontière, ce franchissement du seuil lorsque d'une collection de choses éparses, masses, couleurs, objets, lumière, on passe à un autre moment, à un autre espace, lorsque l’œuvre se "met à parler", parce que ces éléments ont été disposés de façon à ce que de cette cohérence émerge un sens. On bouge les pièces muettes, ça ne dit rien, et ça ne "veut rien dire", ça reste muet comme une hébétude, et puis d'un coup c'est agencé comme il faut, il y a ce qu'il faut là où il faut, et "ça parle". Enfin bref....

Mais quelque jour il faudra que je me penche sur ce qui sépare un créateur de la personne qui ne ressent aucun besoin en la matière, et qui peut passer sa vie entière sans produire quoi que ce soit de personnel, ce qui donne à l'artiste un frisson mortel.

L'artiste vit justement pour repousser la mort, il crée pour faire du bruit afin de l'empêcher de venir. Une vie où rien ne sort de lui, c'est la porte ouverte à la mort, pour qu'elle vienne sans bruit occuper les lieux, qu'elle profite du silence pour entrer. Alors non, le tintamarre l'effraie.