L'on sature avant d'avoir atteint l'ossature
C'est cela de chercher, il y a des périodes de mou
Le silence dégénère et les deux font la paire.
Je me retrouve sans le sou à attendre qu'un lundi matin
Ou un lundi soir...
C'est trop dar, mais c'est trop tard
Qu'importe l'ultimatum, l'abolition et les complications
Ablations d'espoirs un jour ou l'autre
Ex-espoirs
Qu'importe l'humidité, dans les placards abandonnés
Apprendre à s'anesthésier, avant l'arrivée de la vérité
Un pas de côté, hors de chaque chrysalide
J'ai peur que cela ne devienne une marche, jour après jour
Une marche oxydée au bord des routes.
Et puis,
Couper à travers le sous-bois.
La vraie liberté, intranchable, qui filtre, la gorge, la faim
J'ai un sommeil de libellule par avance, je fais provision de rien
Je le dépenserai alors, libre de temps, ivre d'espace
Seigneur, éloigne...
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