Je me retrouve assez dans
ce mode de narration, fluide. Trop peut-être, mais dans cette incapacité à saisir des souvenirs en fuite, à les organiser, à leur mettre des dates ou à en tirer quoi que ce soit, parce que comme il dit, cette " expérience oblique de la réalité " témoigne de l'irruption de la vie intérieure, comme un flux qui inonde sans cesse la toile, ne laisse à peine qu'une seconde de répit, lorsqu'on saute de côté des rails crissants, pour sauver sa peau, et que finalement, il n'en reste rien.
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