J'ai trouvé ce joli blog : " Mes vacances au Lavandou", là.
Oui, sous ces lunes palatales, dans ces douces nuits indigo j'ai moi aussi connu ce bonheur empoisonné et je me sens proche de cet enfant.
Et maintenant, plus sûrement coupée de ce pays que s'il était sur Mars, je le contemple moi aussi, hébétée, à travers la vitre qui s'épaissit, retenant son départ, et je frissonne.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire