J'ai donc choisi ceci, de la charmante Sumiyo Toribe :
Parce que c'est bien pratique pour illustrer les propos de Blanchot sur Hölderlin, dans la ligne : " Le poète est second par rapport au poème", qui doit préexister dans son essence, le poète le réalisant ensuite.Pour pouvoir ainsi " cerner le blanc", et même s'il y a eu des croquis préparatoires, il faut bien que le plan général de l'oeuvre préexiste à son exécution.
Cela vient s'ajouter aussi aux réflexions sur l'antémémoire et le "search for meaning", évoqués dans ce billet.
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