Je me permets de signaler cette belle image :
Que j'ai trouvée sur le blog de Steven D.Foster.
Et à propos de cette phrase :
"Although
Tao-Buddhist painting does not indicate the source of light by the play
of light and shade, its landscapes are none the less filled with a
light that permeates every form like a celestial ocean with a pearly
lustre: it is the beatitude of the Void (shunya) that is bright through
the absence of all darkness."
Notamment du " pearly lustre", je voudrais faire un appel au peuple pour savoir si quelqu'un a déjà constaté la lumière nacrée et iridescente, la douce lumière dans laquelle baignent les images de L'Oeil Magique *, lorsqu'on les voit.
Si quelqu'un a une explication, je suis preneuse.
* Ce lien n'est pas là pour montrer la lumière, ça marche plutôt sur le papier. Il faut avoir les bouquins.
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lundi 31 décembre 2012
samedi 29 décembre 2012
Previous message: joel s. kollin: "DEATH TO ALL FANATICS!"
Séquence émotion : J'ai retrouvé dans les premières archives de l'Eglise du Subgenius ce post de Joel S. Kollin. J'aime les noms d'hôtes. C'était le bon temps.
Intéressant également, la mention de Marylin Vos Savant, qui prit part au débat sur le jeu des 3 portes, dont l'exposé est liminaire au livre de Gerald Bronner " L'empire de l'erreur".
Et une petite tendresse pour : " Maybe we should start a club for the losers, the weird, the unwanted, the short, the fat, and the brunette
Re: dialing for dollars
joel s. kollin ((no email))
29 May 88 01:30:31 GMT
Messages sorted by: [ date ][ thread ][ subject ][ author ]
Next message: Vulture of Light: "666"
Previous message: joel s. kollin: "DEATH TO ALL FANATICS!"
Article 3138 of misc.forsale:
Path: mit-amt!joel
>From: joel@mit-amt.MEDIA.MIT.EDU (joel s. kollin)
Newsgroups: misc.forsale
Subject: Re: dialing for dollars
Summary: more stupid flameage
Keywords: completely inappropriate
Date: Sat, 28 May 88 21:30 EDT
References: <11146 apple.apple.com="apple.apple.com">11146>
Reply-To: The Stark Fist of Removal
Organization: MIT Media Lab, Cambridge MAOA
Lines: 21
In article <11146 apple.apple.com="apple.apple.com"> grady@apple.UUCP (Grady Ward) writes:11146>
>Less than a year ago, I founded a Hi-IQ club which now has over 130
>members around the world, including Marilyn vos Savant and
>Christopher Harding, individuals recognized by the popular press as
>having the highest IQ's in the world. I write essays and fiction for
>various publications. I am 6'1" with blond hair and blue eyes and
>good health. My future prospects look great.
CALIFORNIA...UBER ALLES...
Maybe we should start a club for the losers, the weird, the unwanted,
the short, the fat, and the brunette. The people recognized by the
Weekly World News as prime subscription candidates.
Quit your job. Slack Off. Find better ways of getting money than
begging on USENET (such as conning people who are supposedly good
at taking multiple-choice tests.)
Just ask "Bob"...
lundi 17 décembre 2012
Lueur d'espoir
Du vide, j'ai connu l'éclatante blancheur
Cette somptueuse absence m'a été donnée à voir
Par son éblouissante lenteur.
Je l'ai vu s'écrouler, immobile.
Au centre de la croix, le vide absolu
Non froid, non noir, comme il est réapparu
Dans les braises.
Peu après, je fus contente de me savoir connectée à ceci.
J'étais plus légère, en général. Non pas enjouée, l'eussiez-vous pensé, non,
Seulement légère.
Je dansais comme la flamme,
Entre Ses épaules, au cœur de la nef,
J'aime à soupeser les damassés
Blancs.
Son immobilité est immense, intacte
Nul attribut que ce mouvement blanc,
Qui ne donne à voir que du noir,
Pour qui fixe ses formes,
Bute
Sur ses formes.
Sur leur changement, leur impermanence
Il ne change pas, le vide est
Intact.
Il est ce qu'il y a de plus plein,
Nulle fissure du mourir,
Nul jour entre ses fibres.
Je détisse la réalité, jusqu'à l'entrevoir
Il se laisse entrevoir, et pourquoi non,
Il est.
Cette somptueuse absence m'a été donnée à voir
Par son éblouissante lenteur.
Je l'ai vu s'écrouler, immobile.
Au centre de la croix, le vide absolu
Non froid, non noir, comme il est réapparu
Dans les braises.
Peu après, je fus contente de me savoir connectée à ceci.
J'étais plus légère, en général. Non pas enjouée, l'eussiez-vous pensé, non,
Seulement légère.
Je dansais comme la flamme,
Entre Ses épaules, au cœur de la nef,
J'aime à soupeser les damassés
Blancs.
Son immobilité est immense, intacte
Nul attribut que ce mouvement blanc,
Qui ne donne à voir que du noir,
Pour qui fixe ses formes,
Bute
Sur ses formes.
Sur leur changement, leur impermanence
Il ne change pas, le vide est
Intact.
Il est ce qu'il y a de plus plein,
Nulle fissure du mourir,
Nul jour entre ses fibres.
Je détisse la réalité, jusqu'à l'entrevoir
Il se laisse entrevoir, et pourquoi non,
Il est.
Rouge et blanc
" Un ourlet ? Et puis quoi, encore ! " s'écria Moitié-de-Poulet. " Je vais à Venise voir le Doge".
lundi 10 décembre 2012
Latino Imperato
Les entends-tu, ces vagues de silence,
Poudreuses, cristallines,
Qui s'effondrent,
Cristallines, poudreuses ?
Je sais je sais, ce sont l'envers de vestes vertes
Doublures
Je sais, entre les vagues, il y a
Des signes
Oh, je suis coupable, je mords mes lèvres
Je devrais me draper de l'endroit
Où je fus déposée
Oui, j'ose cette épopée,
Dire mes torts.
Plutôt que déposer mes baisers
Tentures d'or, forteresse battue aux flots
Me taire, m'offrir aux vagues
Poudreuses, cristallines
S'effondrant aux frontières
Me couvrant
D'ombre
Bercée, et pourtant toujours perplexe,
Je suce mon pouce
La paroi que j'éprouve
L'erreur de la maternité rouge
Doublure d'or de la veste, je pousse
Les murs de ma cellule
J'éprouve
Vagues, cristallines, poudreuses,
Vagues de silence, je vous entends à présent
Poudreuses, cristallines,
Qui s'effondrent,
Cristallines, poudreuses ?
Je sais je sais, ce sont l'envers de vestes vertes
Doublures
Je sais, entre les vagues, il y a
Des signes
Oh, je suis coupable, je mords mes lèvres
Je devrais me draper de l'endroit
Où je fus déposée
Oui, j'ose cette épopée,
Dire mes torts.
Plutôt que déposer mes baisers
Tentures d'or, forteresse battue aux flots
Me taire, m'offrir aux vagues
Poudreuses, cristallines
S'effondrant aux frontières
Me couvrant
D'ombre
Bercée, et pourtant toujours perplexe,
Je suce mon pouce
La paroi que j'éprouve
L'erreur de la maternité rouge
Doublure d'or de la veste, je pousse
Les murs de ma cellule
J'éprouve
Vagues, cristallines, poudreuses,
Vagues de silence, je vous entends à présent
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