Ma sœur m'a dit :
" Tes peurs ressemblent-elles aux miennes ? Tu me les diras, je les mettrai côte à côte et je regarderai leur ressemblances, que je cueillerai...pour mieux les rassembler.... ça n' existe pas, la rassemblance ? "
Non, mais c'est magnifique, je le garde. Un mot nouveau, c'est un territoire nouveau de la pensée, un carré d'herbe qu'on pose sur le vide, là où la pensée ne pouvais pas encore marcher...
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