L'idée, dans cet opus de la série,
est d'en venir à ce qui lui donne son titre, à cette idée que l'amitié
de quelqu'un qui a été retourné est plus dangereuse que celle d'un
adversaire " d'origine". Ceux qui professent une opinion tandis qu'une
partie de leur inconscient sait qu'ils sont de mauvaise foi, et qu'ils
le font par peur de déplaire à leur entourage, sont bien plus dangereux
que ceux qui y adhèrent de bonne foi.
Le
derniers ne demandent parfois qu'à être dessillés, là où les premiers
s'accrocheront à leur credo par peur de déplaire et désir de bien faire.
Voilà pourquoi je préfère un imbécile antisémite à qui il ne manque
qu'un peu d'éducation pour redevenir normal, à ceux qui véhiculent le
slogan par conformisme pour dorer leur blason, et se satisfont de cette
caution pour nous laisser là avec le vrai problème.
Parce
que le vrai problème, c'est les millions d'enfants que nous avons
devant nous dans les salles de classe, c'est de leur faire faire leurs
humanités pour qu'ils soient des hommes accomplis, et qu'ils ne nous
donnent pas encore une génération à 25 % d'antisémites, ça c'est le vrai
problème. Cela marche comme pour le racisme.
Prenez une cité pourrie, habitée par des gens qu'on force à la promiscuité, genre les HLM construit par les promoteurs pour faire fortune au mépris des inévitables conséquences de leurs actes. Inévitables dérives et incidents de frontière. Les gens de terrain remontent : " Il y a des problèmes dans les quartiers où l'on a fait en sorte que trop de pauvres de différentes cultures entassent leur misère ".
Les bien-pensants s'écrient "Je ne peux pas vous laisser dire sans réagir dans le pays des droits de l'homme que les immigrés posent des problèmes, c'est de l'islamophobie, touche pas à mon pote, et remets la poussière sous le tapis, sale raciste".
Ok, on remet la poussière sous le tapis, au bout de 10 ans le tapis prend feu, au bout de 20 ans, l'AFD vrai raciste vilain populiste prend le pouvoir malgré le "cordon sanitaire". Qui a amené les fascistes au pouvoir ? Ceux qui voulaient irriguer les territoires de moyens suffisants pour donner aux gens les moyens de vivre dans la dignité, ou ceux qui les ont fait taire à coups de slogan anti-racistes pour continuer à s'en mettre plein les fouilles au dépens des pauvres ?
Et si ces gens là ont agi ainsi, c'est parce qu'ils sont persuadés que ça ne sert à rien de mettre du fric dans les banlieues. Et s'ils pensent ainsi, c'est parce qu'ils sont sûrs qu'on peut toujours passer une fortune à éduquer un nègre, ça ne sert à rien, il continuera à voler la nuit pour dormir le jour.
Et vous mes amis bien-pensants, cela fait des décennies que vous cautionnez le discours de ces salauds, parce que cela vous donne une bonne image de vous-même, surtout dans vos belles maisons de banlieues de riches. C'est pour cela que je dis que votre amitié est celle de Judas. Je préfère un inculte qui s'ignore qu'un Tartuffe passé par le reniement avant de hurler avec les loups
Bon, ben ça c'est plié. Une bonne chose de faite. Maintenant, on va pouvoir passer aux choses sérieuses, à approcher du cœur du réacteur .Le cœur du réacteur, ce qui à mon grand étonnement "marche", comme je le disais ici, c'est cette période d'interaction entre l'individu et le groupe. Il va y avoir circulation entre les deux : le groupe va instiller ses valeurs dans l'individu, le "retourner", et le renvoyer dans ses foyers, persuadé que ce qu'il professe est non pas une valeur du groupe, mais son opinion personnelle. Il va ainsi grossir les rangs du groupe, persuadé que ce qu'on lui a inculqué est une opinion, par là qu'il détient, en tant que pourcentage de la majorité qui règne en démocratie, justice et bon droit de faire valoir par la force ce qui n'est que coutume locale et qu'il prend pour vérité universelle.
Eh oui, réfléchissons un instant, il en va ici de même que pour le cas de l'échantillon du placebo contre le cancer. Mettons que sur un groupe de 100 personnes au hasard, 40 développent un cancer. Si vous faites partie d'un groupe de 100 personnes qui, ayant pris un placebo censé empêcher la survenue d'un cancer, présentent une différence notable, par exemple 20 personnes seulement développent un cancer, il faut bien, à un moment ou un autre, que ces personnes soient instanciées.
C'est à dire, mettons vous, une personne qui devait développer un cancer, et ne l'a pas fait à cause d'un placebo.Prenez une cité pourrie, habitée par des gens qu'on force à la promiscuité, genre les HLM construit par les promoteurs pour faire fortune au mépris des inévitables conséquences de leurs actes. Inévitables dérives et incidents de frontière. Les gens de terrain remontent : " Il y a des problèmes dans les quartiers où l'on a fait en sorte que trop de pauvres de différentes cultures entassent leur misère ".
Les bien-pensants s'écrient "Je ne peux pas vous laisser dire sans réagir dans le pays des droits de l'homme que les immigrés posent des problèmes, c'est de l'islamophobie, touche pas à mon pote, et remets la poussière sous le tapis, sale raciste".
Ok, on remet la poussière sous le tapis, au bout de 10 ans le tapis prend feu, au bout de 20 ans, l'AFD vrai raciste vilain populiste prend le pouvoir malgré le "cordon sanitaire". Qui a amené les fascistes au pouvoir ? Ceux qui voulaient irriguer les territoires de moyens suffisants pour donner aux gens les moyens de vivre dans la dignité, ou ceux qui les ont fait taire à coups de slogan anti-racistes pour continuer à s'en mettre plein les fouilles au dépens des pauvres ?
Et si ces gens là ont agi ainsi, c'est parce qu'ils sont persuadés que ça ne sert à rien de mettre du fric dans les banlieues. Et s'ils pensent ainsi, c'est parce qu'ils sont sûrs qu'on peut toujours passer une fortune à éduquer un nègre, ça ne sert à rien, il continuera à voler la nuit pour dormir le jour.
Et vous mes amis bien-pensants, cela fait des décennies que vous cautionnez le discours de ces salauds, parce que cela vous donne une bonne image de vous-même, surtout dans vos belles maisons de banlieues de riches. C'est pour cela que je dis que votre amitié est celle de Judas. Je préfère un inculte qui s'ignore qu'un Tartuffe passé par le reniement avant de hurler avec les loups
Bon, ben ça c'est plié. Une bonne chose de faite. Maintenant, on va pouvoir passer aux choses sérieuses, à approcher du cœur du réacteur .Le cœur du réacteur, ce qui à mon grand étonnement "marche", comme je le disais ici, c'est cette période d'interaction entre l'individu et le groupe. Il va y avoir circulation entre les deux : le groupe va instiller ses valeurs dans l'individu, le "retourner", et le renvoyer dans ses foyers, persuadé que ce qu'il professe est non pas une valeur du groupe, mais son opinion personnelle. Il va ainsi grossir les rangs du groupe, persuadé que ce qu'on lui a inculqué est une opinion, par là qu'il détient, en tant que pourcentage de la majorité qui règne en démocratie, justice et bon droit de faire valoir par la force ce qui n'est que coutume locale et qu'il prend pour vérité universelle.
Eh oui, réfléchissons un instant, il en va ici de même que pour le cas de l'échantillon du placebo contre le cancer. Mettons que sur un groupe de 100 personnes au hasard, 40 développent un cancer. Si vous faites partie d'un groupe de 100 personnes qui, ayant pris un placebo censé empêcher la survenue d'un cancer, présentent une différence notable, par exemple 20 personnes seulement développent un cancer, il faut bien, à un moment ou un autre, que ces personnes soient instanciées.
C'est avec cette image que je fais un parallèle pour dire qu'il faut bien des personnes pour instancier les valeurs du groupe. Chez certaines personnes au moins, ces valeurs vont devenir des opinions, voire des convictions, voire des pièces de construction.
Ce
que j'appelle ici des pièces de construction, c'est une valeur de
groupe à laquelle le sujet va s'identifier de façon si forte qu'il va se
construire sur cette valeur, comme une poutre de réemploi passera de la
charpente d'une maison à la toiture d'une grange. Avant que le sujet se
mettre à choisir parmi les options qu'il pense être des opinions, un
certain nombre de possibilités ont déjà été bloquées, et ce fut fait,
bien évidemment, au sein des couples de valeurs.
C'est entre autres arguments une raison pour laquelle on peut dire que les structures sont imbriquées. Un
couple de valeurs est imbriqué dans un autre. Par exemple, il est bon
de penser qu'on peut, ou pas, avoir telle pratique sexuelle avec des
animaux. Ce couple de valeurs se situe au sein d'un autre, qui est qu'on
doit avoir un avis sur les pratiques sexuelles en général, celles qui
sont permises ou pas. Un jeune Juif peut-il s'accoupler avec un bouc
dans une baignoire de lait de chèvre est par exemple une question sur
laquelle plein de gens vont se sentir concernés alors que franchement,
on n'en a rien à foutre.(1)
Par ailleurs, y a bien entendu un feed-back entre les opinions personnelles et le
consensus : une fois persuadé que ce qu'on lui a dit de penser est son
opinion, le sujet n'aura de cesse de professer cette opinion en la
répétant comme un canard le bec en l'air toute la journée à qui veut
l'entendre, donnant aux assemblées humaines, depuis une réunion de
famille jusqu'au parlement européen, cet air de basse-cour bretonne.
Le
sujet va examiner le groupe ou la classe qui pourrait lui rendre les
plus grands services, lire ses opinions et les répéter. Enfant, ceci se
produit avec les parents. L'enfant, jusque très tard quand ce n'est pas
toute sa vie, répétera inconsciemment les schémas mentaux de ses
parents, ceci est connu jusqu'à la moelle.
Ce qui est moins connu, il me semble, c'est ce fameux sentiment que je qualifiai d'engagement,
une sorte de libido qui fait que le sujet "croit à ce qu'il dit", et
pense que son cancanement constitue position. Une fois de plus, c'est non
seulement le système de valeurs qui est ici véhiculé puis cautionné,
mais sa réalité même.
C'est là que le truc
devient dément. C'est à dire que la réalité des structures constituées par les valeurs sociales
imbriquées d'une part, et la réalité des structures linguistiques imbriquées formant individu d'autre part se
regardent de chaque côté du miroir comme deux choses dont aucune
n'existe mais dont chacune tire son existence de l'autre, en pensant qu'elle est l'autre, ou plutôt que l'autre est son reflet.(2)
C'est
ce qui donne ce double sentiment qui apparaît comme une donnée
immédiate de la conscience pour mieux disparaître au moindre examen, que
nous, en tant que réalité, examinons une seconde réalité, la réalité
extérieure.
Seuls les handicapés mentaux font exception
à ce schéma, et c'est pourquoi seuls les soignants psy ont accès à
cette vérité extrêmement déstabilisante, qui les rend si humains, mon
chou : Ce que nous, chacun de nous en tant que conscience individuelle, regarde dans le miroir, ce n'est qu'une instance de la réalité sociale globale dont
nous sommes issus, comme un terminal Wyse qui regarderait son schéma réseau
dans l'écran et dirait "C'est moi", oubliant le fil qui le relie à la
masse logicielle dont il n'est qu'un reflet sur un fragment d'écran.
Parce
que les handicapés mentaux ont échoué justement à construire ce moi, ce
sujet persuadé qu'il est, qu'il possède une étincelle de vie
indépendante, parce qu'il exécute le programme commun de la gauche,
lequel se décide partout et nulle part, dont la périphérie est
l'humanité entière et le centre chacun de nous, et qui est, en tout et
pour tout, l'univers. Ceci, il faut bien vous en convaincre : ce que
vous voyez à travers vos microscopes et vos télescopes, ce n'est rien
d'autre qu'une version améliorée de ce que voient les écoliers
lorsqu'ils admirent le plafond d'un planétarium : vous regardez l'état
de vos connaissances.
Ou plutôt un morceau de nous regarde l'état de nos connaissances.
Les handicapés mentaux échouent à croire en ce qu'ils voient, sans doute, à un moment de leur existence. Pour certains du moins, c'est à ceci que servirait le stade du miroir de Lacan. Ce n'est pas un simple miroir, dans lequel le poupon découvre son image. En fait c'est une image de cela que Lacan a forgée, s'amusant comme souvent de la confusion des porcinets lappant les reliefs du repas dans la joie.
Ce que l'enfant découvre, il l'a dit d'ailleurs, c'est son image vue par les autres, qu'il n'existe que dans le regard de l'autre. Mais ce qu'il voit, lui ce n'est que le monde des autres, dont il n'est qu'une excroissance. Il cherche dans le regard de l'autre une confirmation qu'il est détaché du reste. Visuellement, c'est vrai. Mais psychiquement, c'est faux, nous sommes plus rattachés aux autres qu'un ordinateur avec ses fils, au reste du bazar. Le cordon n'est jamais coupé.
(1) Le problème des valeurs sexuelles est imbriqué dans celui des choses au sujet desquelles il faut avoir un avis (et le bon) exactement comme vous êtes imbriqué au sein de votre famille, c'est à dire que votre fonctionnement doit être pensé dans ce cadre.
Ce qui signifie deux choses. La première est que cette prise en compte est nécessaire pour comprendre vos agissements : vous mangez à midi parce que vos parents mangeaient à midi. Si vous mangez à 13h, c'est sans doute dû à l'influence d'une autre sphère dans laquelle vous êtes imbriqué (épouse, belle-famille..) et la seconde est que vous êtes toujours imbriqué dans ce cadre (vous y allez le dimanche midi).
Le symétrique de la première est que vous pensez que vous avez telle opinion alors qu'en fait vous l'avez parce que vos parents l'avaient, et si vous pensez différemment, c'est que vous avez épousé celle de votre femme pour avoir la paix, et le corollaire de la seconde c'est que vous avez toujours pour partie comme horizon des possibles celui que vos parents vous ont légué.
Ce que vous prenez pour votre être, le " Je " du "Je pense que", est comme un bibliothécaire qui va chercher les ouvrages à la demande. Vous n'habitez pas chez vous mais dans la bibliothèque de vos parents. Si je me présente à votre bibliothèque, vous allez ouvrir la porte, je vais déposer une demande avec marqué "Avoir des rapports sexuels avec un bouc" et ceci est bien une cote. Vous allez prendre cette cote, parcourir les rayons, et trouver un ouvrage intitulé "c'est pas bien".
Vous allez revenir et produire cet ouvrage. Ainsi vous aurez effectué la bonne restitution. Là où c'est le plus fou, c'est que c'est du fait d'avoir rempli cette mission correctement que vous tirez votre sentiment d'exister. Je sais, c'est fou.
(2) Ainsi la réalité de ce que je vois dans le miroir, c'est un monde où les riches exploitent les pauvres, où les amants tuent le mari pour pouvoir enfin faire l'amour tranquillement le soir sans avoir à fournir d'excuse, et où on adore le chocolat et la noix de coco. Mais ce que je pense voir, c'est un individu, ou plutôt justement quelque chose ou quelqu'un qui n'est pas indivis.
Ce que je vois en réalité, c'est une indivision, une communauté de moyens. Je vois un monde de profs qui m'ont appris à parler et à penser.
Mais ce que je pense voir, c'est une bulle qui a gagné sa liberté, une unité autonome qui regarde un autre monde, dont il peut s'éloigner ou se rapprocher à volonté. Faites des expériences genre la caméra invisible sur le changement de réalité, et vous verrez comment quelqu'un devient fou en une minute.
Ce que le miroir voit en moi, de l'autre côté du miroir, c'est un individu à qui l'éducation a donné une autonomie de conscience, et qui veut maintenant discuter d'égal à égal avec le pouvoir qui l'a créé, et ce qu'il pense voir, c'est une partie de son corps qui doit obéir pour servir ses valeurs, comme un doigt ou un bras.
Aucune des parties n'existe réellement, puisque chacune n'existe que par le reflet de soi qu'elle voit dans l'autre. Je tire le sentiment et la certitude du fait que, lorsque je regarde un miroir censé donner la réalité de mon côté, j'y vois un individu libre. Mais je ne vois que ce que je veux y voir. En réalité, de mon côté du miroir, au desssus du siège, comme de l'autre côté, il y a des cordes. Du vide, des quarks, des champs et des cordes.Ce que je vois, c'est le film auquel je crois.
C'est pour cela que les handicapés mentaux ne voient rien dans le miroir, car il ne tirent pas de sentiment d'existence de ce qu'ils voient, puisque la seule chose à voir dont on puisse tirer sentiment d'existence, c'est le fatras de règles d'interprétation que l'éducation nous a enseignées, et qui, mises ensemble, forment si bien un mikado qu'on dirait un monde.
Je n'existe pas, et pourtant, je suis persuadé que j'existe car je vois mon double dans un miroir. Je vois un reflet et je pense que c'est moi. Ce reflet, c'est un hologramme forgé et porté par l'édifice mental qui repose dans mon esprit. C'est comme dans Starwars. Lorsque la princesse machinchose avec les macarons s'adresse au prêtre yogi truc machin, elle n'existe pas, mais son image tremblotante tire sa certitude d'exister du fait qu'elle s'adresse à une personne censée exister quand le message sera joué.
De même pour nous. Notre éducation nous a donné suffisamment d'outils psychiques pour construire un monde réel, ce qui nous permet d'y projeter notre moi tremblotant comme une petite silhouette de cire animée sur les parois de la grotte, ou même de l'y poser comme on pose un Jésus dans la crèche à la fin, justifiant la construction de la crèche du début. Par la téléologie divine, nous avons trouvé le moyen d'inclure le Temps dans l'Histoire, ce qui avait été esquissé dans les théogonies.
Cette conquête de la croyance en la réalité, en sa propre réalité, en soi comme élément d'un monde vers lequel on ira, mû par l'engagement, conquête permise par l'éducation, intercession d'un groupe dont on se détachera peu ou prou en fonction de la liberté donnée au sujet par cette même éducation, voilà l'incroyable aventure qui arrive à ce moment même à des centaines de millions d'enfants de par le monde.
Mais il y en a parmi eux un petit groupe, le groupe de ceux qui ne croient pas à l'histoire. Et pour cela, nous devrions chercher à modifier notre récit, pour les amarrer d'une autre façon à notre groupe, au lieu de les laisser dériver au fil du fleuve. Je sais que je plaide pour le moins intéressant et le moins rentable des groupes sociaux.
Les handicapés physiques ont au moins ceci de sympathique qu'on peut les foutre au boulot. Ils adorent, tout le monde adorent, ça rentre tellement dans la belle aventure de se tuer au boulot dont les héros de cette fin de siècle sont pétris (oui, nous sommes encore dans la fin du XXème siècle). Les mentaux, eux ne servent vraiment à rien. On les montre toujours comme des bêtes de foire dans les émissions de télé réciter par coeur les monuments de Rome, et parfois même ils sont à la mode, on s'arrache leurs textes. Cf. Babouillec.
Espérons que cette mode s'enracinera et sera transformée en un mouvement plus profond et plus ample. On a tout et tous à y gagner. Voilà, c'est ce que je voulais dire.